Six mois après la fin de la série Star Trek - The Next Generation sortait ce film, ayant pour objectif de poursuivre la saga Star Trek au cinéma avec la nouvelle équipe (qui en sept saisons avait réussi à trouver son public) tout en offrant à Shatner un dernier baroud d'honneur.
Sauf qu'en voulant absolument faire se réunir les deux capitaines, on en a oublié un peu Star Trek, Generations faisant la part belle à Picard et laissant des miettes au reste de l'équipage, quasi inexistant, et venu gratter à peu de frais un joli cachet. Une sous-intrigue sur Data et son éternelle recherche d'humanité peine à démontrer son utilité dans l'histoire, histoire qui elle-même patine largement, ne trouvant jamais le bon angle tout en essayant de flatter le trekkie avec quelques klingons et des références à la série.
Avec le potentiel du Nexus (un lieu où seul le bonheur compte et où le temps n'existe plus) largement sous exploité, des bonnes idées qui ne mènent pas à grand chose (l'espionnage via le viseur de LaForge) et un Malcom McDowell qui cabotine en méchant, il ne nous reste plus grand chose à nous mettre sous la dent, si ce n'est une intro très proche des longs-métrages précédents, avec un Kirk ne supportant pas sa retraite, et des effets spéciaux pas ridicule dont un impressionnant atterrissage de la soucoupe de l'Entreprise.
Au final, Star Trek Generations apparaît plus comme un bien ennuyeux téléfilm, à peine digne de la seconde série et loin aussi d'une bonne partie des précédents films. Largement oubliable en tout cas pour ce qui concerne la saga Star Trek au cinéma.
Sauf qu'en voulant absolument faire se réunir les deux capitaines, on en a oublié un peu Star Trek, Generations faisant la part belle à Picard et laissant des miettes au reste de l'équipage, quasi inexistant, et venu gratter à peu de frais un joli cachet. Une sous-intrigue sur Data et son éternelle recherche d'humanité peine à démontrer son utilité dans l'histoire, histoire qui elle-même patine largement, ne trouvant jamais le bon angle tout en essayant de flatter le trekkie avec quelques klingons et des références à la série.
Avec le potentiel du Nexus (un lieu où seul le bonheur compte et où le temps n'existe plus) largement sous exploité, des bonnes idées qui ne mènent pas à grand chose (l'espionnage via le viseur de LaForge) et un Malcom McDowell qui cabotine en méchant, il ne nous reste plus grand chose à nous mettre sous la dent, si ce n'est une intro très proche des longs-métrages précédents, avec un Kirk ne supportant pas sa retraite, et des effets spéciaux pas ridicule dont un impressionnant atterrissage de la soucoupe de l'Entreprise.
Au final, Star Trek Generations apparaît plus comme un bien ennuyeux téléfilm, à peine digne de la seconde série et loin aussi d'une bonne partie des précédents films. Largement oubliable en tout cas pour ce qui concerne la saga Star Trek au cinéma.
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