L'affiche est vilaine, hein ? Ca tombe bien, vous ne serez pas déçu en regardant le film, croisement improbable entre Top Gun et Ghost Rider, totalement conforme à l'esthétique de cette affiche.
Particulièrement laid visuellement (Thor est à côté un sommet de classe et de bon goût), il est tout aussi pénible à suivre, ennuyeux (des scènes d'action ? Quelles scènes d'action ?) et passant régulièrement à coté des enjeux super-héroïques, bien que se voulant moqueur (l'autre super-green héros, côté frelon, a été bien plus malin et ambitieux) mais se référant tout autant au glorieux anciens (ne serait-ce pas Superman que je vois débouler sur le balcon de la belle). Ne prenant jamais au sérieux son héros, tout se dégonfle, y compris le trauma initial (la mort du père, sommet risible de sadisme), et tout ça pas aidé par un faiblard super-méchant et son side-kick (malgré lui) jaloux et revanchard. Même l'utilisation de l'anneau et ses possibilités infinies ne sont pas exploités.
Le casting aurait pu sauver un peu le tout (Tim Robbins, la jolie Blake Lively en brune, Mark Strong), mais là non plus il n'y a pas grand chose à sauver, faute à des personnages plats et inconsistant, Ryan Reynolds remportant aisément la palme de la fadeur.
Bref, tout ça manque cruellement d’héroïsme, d'imagination, de finesse. Green Lantern rejoint ainsi sans problème Ghost Rider dans le club trop peu fermé des purges super-héroïques et malheureusement, comme suggère l'image finale, un suite se profile à l'horizon...
Particulièrement laid visuellement (Thor est à côté un sommet de classe et de bon goût), il est tout aussi pénible à suivre, ennuyeux (des scènes d'action ? Quelles scènes d'action ?) et passant régulièrement à coté des enjeux super-héroïques, bien que se voulant moqueur (l'autre super-green héros, côté frelon, a été bien plus malin et ambitieux) mais se référant tout autant au glorieux anciens (ne serait-ce pas Superman que je vois débouler sur le balcon de la belle). Ne prenant jamais au sérieux son héros, tout se dégonfle, y compris le trauma initial (la mort du père, sommet risible de sadisme), et tout ça pas aidé par un faiblard super-méchant et son side-kick (malgré lui) jaloux et revanchard. Même l'utilisation de l'anneau et ses possibilités infinies ne sont pas exploités.
Le casting aurait pu sauver un peu le tout (Tim Robbins, la jolie Blake Lively en brune, Mark Strong), mais là non plus il n'y a pas grand chose à sauver, faute à des personnages plats et inconsistant, Ryan Reynolds remportant aisément la palme de la fadeur.
Bref, tout ça manque cruellement d’héroïsme, d'imagination, de finesse. Green Lantern rejoint ainsi sans problème Ghost Rider dans le club trop peu fermé des purges super-héroïques et malheureusement, comme suggère l'image finale, un suite se profile à l'horizon...
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