
Sur les 20 épisodes, ceux qui retiennent l'attention se comptent, soyons vaches au regard des deux précédentes saisons, sur les doigts d'une main : la possible partie à trois de Ted (ép. 3, Third Wheel), la bande partie faire du sport (ép. 10, The Yips), la fête de la Saint-Patrick (ép. 12, No Tomorrow) et le retour de Robin Sparkles (ép. 16, Sandcastles in the Sand) avec un savoureux cameo de James Van De Beek, que nombres retiendront comme l'éternelle endive de Dawson, mais qui vaut pourtant bien mieux que ça (qui a vu Les Lois de l'Attraction ?).
Mis à part un autre excellent cameo de Britney Spears, ce qui ressort de cette troisième saison est le potentiel comique bien en deçà de ce qu'on nous avait habitué, et des personnages qui n'avancent guère. Était-ce pour nous rappeler l'ancrage de la série dans une forme de réalisme (la vie c'est pas toujours drôle, mais bon, les sitcom c'est sensé être plus drôle que la vraie vie...) ou juste par panne d'inspiration ? Cela ne vous étonnera guère si je vous dis que je penche pour la seconde option...
Reste quelques bonnes idées éparses (le "sandwich" à la fac, un excellent running gag), un Barney Stinson qui justifie parfois à lui seul la vision de la série (mais Marshall a également un très fort potentiel comique) et une série qui garde une véritable unité, un esprit général toujours plaisant. Et cela valait presque le coup d'attendre à la vision de la quatrième...
Ah oui, j'oubliais : rhââââââ lovely Alyson Hannigan...
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