Après une saison inaugurale réussie, et comme les seconds albums de tout artiste musical, la deuxième saison reste un cap difficile. Surtout pour une sitcom se voulant moins classique dans sa forme, tout en gardant la plupart des oripeaux de toute sitcom basique.
Et How I Met Your Mother réussit haut la main le rite de passage de la seconde saison. Maintenant son cap feuilletonnesque (trois intrigues principales y sont développées : la séparation de Lily et Marshall, la relation Ted-Robin et le mariage de Lily et Marshall), elle s'offre en plus quelques moments de bravoure, tel le lourd secret de Robin (ép. 9, Slap Bet), la pièce de théâtre de Barney (qui se conclura par une baffe monumentale, running gag issu des conséquences de l'ép. 9 précédemment cité) ou encore le passage au Juste Prix de Barney (ép. 20, Showdown). D'ailleurs, Barney s'étoffe de plus en plus et, au delà de l'aspect délirant du personnage, les scénaristes hésitent de moins en moins à en faire un personnage bien moins faux qu'il en a l'air, aux fissures émotionnelles bien moins enfouies qu'il ne l'avoue et à la fidélité amicale étonnante. Il est sûrement l'un des personnages de sitcom, voire plus généralement de séries, les mieux écrits (et comment passer à coté de la qualité de son interprète, Neil Patrick Harris ?) de ces 10 dernières années.
Tout comme dans la première saison, la fin de saison est très réussie (elle forme un arc narratif sur 4 épisodes). Le mariage de Lily et Marshall (ép. 21, Something Borrowed) nous offre une très jolie conclusion, loin des clichés boursoufflés du genre et, surtout, la saison se termine sur une séparation attendue mais très bien emmenée, et un Barney encore une fois là où on ne l'attend pas tout à fait.
Si parfois on sent poindre quelques ficelles scénaristiques du genre "réunissons-nous et souvenons-nous" (ép. 17, Arrivederci, Fiero), sans tomber dans le terrible écueil de l'épisode compil d'épisodes, How I Met Your Mother poursuit avec force qualités son parcours télévisuel et nous fait un quasi sans faute. Difficile, en tout cas, de ne pas être emballé.
Au fait, Alyson Hannigan est vraiment grrrrrrrrrrr...
Et How I Met Your Mother réussit haut la main le rite de passage de la seconde saison. Maintenant son cap feuilletonnesque (trois intrigues principales y sont développées : la séparation de Lily et Marshall, la relation Ted-Robin et le mariage de Lily et Marshall), elle s'offre en plus quelques moments de bravoure, tel le lourd secret de Robin (ép. 9, Slap Bet), la pièce de théâtre de Barney (qui se conclura par une baffe monumentale, running gag issu des conséquences de l'ép. 9 précédemment cité) ou encore le passage au Juste Prix de Barney (ép. 20, Showdown). D'ailleurs, Barney s'étoffe de plus en plus et, au delà de l'aspect délirant du personnage, les scénaristes hésitent de moins en moins à en faire un personnage bien moins faux qu'il en a l'air, aux fissures émotionnelles bien moins enfouies qu'il ne l'avoue et à la fidélité amicale étonnante. Il est sûrement l'un des personnages de sitcom, voire plus généralement de séries, les mieux écrits (et comment passer à coté de la qualité de son interprète, Neil Patrick Harris ?) de ces 10 dernières années.
Tout comme dans la première saison, la fin de saison est très réussie (elle forme un arc narratif sur 4 épisodes). Le mariage de Lily et Marshall (ép. 21, Something Borrowed) nous offre une très jolie conclusion, loin des clichés boursoufflés du genre et, surtout, la saison se termine sur une séparation attendue mais très bien emmenée, et un Barney encore une fois là où on ne l'attend pas tout à fait.
Si parfois on sent poindre quelques ficelles scénaristiques du genre "réunissons-nous et souvenons-nous" (ép. 17, Arrivederci, Fiero), sans tomber dans le terrible écueil de l'épisode compil d'épisodes, How I Met Your Mother poursuit avec force qualités son parcours télévisuel et nous fait un quasi sans faute. Difficile, en tout cas, de ne pas être emballé.
Au fait, Alyson Hannigan est vraiment grrrrrrrrrrr...
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