Où comment bousiller l'aura animale d'une des icônes Marvel pour en faire une espèce de truc caricatural, digne des pires heures du cinéma d'action. Situations milles fois vues et revues, traitées sans même une once de tentative d'originalité, de l'opposition des deux frères à la planque au fond des bois pour oublier une vie de crimes, de la situation du gars qui n'a plus rien à perdre à la trahison de tous.
Bourré de clichés (le sourire au coin des lèvres, Wolverine marche au ralenti quand explose en second plan un hélicoptère) qui semblent faire la moelle épinière du scénario, le Wolverine présent ici a plus rapport avec une éventuelle franchise musculeuse quelconque de la "grande" Cannon dans les eighties qu'au personnage trouble et violent qu'il est sensé être. Mais il faut faire des choix, et le choix ici est clairement de capitaliser sur le merchandising de la Marvel.
Alors, amoureux du personnage de papier ou de celui dessiné par les films de Singer (Hugh Jackman réussit une superbe imitation/caricature de lui-même jouant Wolverine en pire), passe ton chemin. Jamais capable de produire une seule miette de qualité (à part peut-être la fugace apparition de Wade Wilson, pour les connaisseurs, rare élément presque en lien avec l'univers originel) y compris dans les scènes d'action, voilà une péloche digne de passer directement aux oubliettes.
Voire, si vous pouvez éviter de regarder ce machin (avec cependant une dispense pour les masos et les pervers) et vous contenter de tout le mal que j'en dis et que j'en pense...
Bourré de clichés (le sourire au coin des lèvres, Wolverine marche au ralenti quand explose en second plan un hélicoptère) qui semblent faire la moelle épinière du scénario, le Wolverine présent ici a plus rapport avec une éventuelle franchise musculeuse quelconque de la "grande" Cannon dans les eighties qu'au personnage trouble et violent qu'il est sensé être. Mais il faut faire des choix, et le choix ici est clairement de capitaliser sur le merchandising de la Marvel.
Alors, amoureux du personnage de papier ou de celui dessiné par les films de Singer (Hugh Jackman réussit une superbe imitation/caricature de lui-même jouant Wolverine en pire), passe ton chemin. Jamais capable de produire une seule miette de qualité (à part peut-être la fugace apparition de Wade Wilson, pour les connaisseurs, rare élément presque en lien avec l'univers originel) y compris dans les scènes d'action, voilà une péloche digne de passer directement aux oubliettes.
Voire, si vous pouvez éviter de regarder ce machin (avec cependant une dispense pour les masos et les pervers) et vous contenter de tout le mal que j'en dis et que j'en pense...
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