Palme d'or, chef d'oeuvre, croûte, navet cosmique, et j'en passe. Fais ton choix, camarade !
Moi je l'avais fait, avant même de voir le film.
Je suis une midinette, une midinette qui aime ne rien comprendre à des films contemplatifs dont la BO est composé de somptueux morceaux de classique, et qui pleure en écoutant la Moldau, en voyant des séquences spatiales ou de retrouvailles familiale sur une plage situé dans un ailleurs, au son du superbe Agnus Dei du Requiem de Berlioz.
Alors, je l'avoue, une seconde fois, je ne suis pas sûr d'avoir bien compris le propos du film, mais j'ai retrouvé ce qui m'a transporté déjà dans La Ligne Rouge : les voix-offs, les plans, la lumière, le grain, les musiques, les paroles, les acteurs... Et ça m'a suffit. Et ce n'est peut-être pas le chef d'oeuvre attendu, c'est peut-être une croûte métaphysiquement fatigante dès que Mallick nous parle d'autre chose que de ce cocon familial. Certains diront même que le réalisateur se regarde largement filmer ou aurait mieux fait de filer une partie de son film à la Cinquième pour ses docus géo ou paléo. Et sûrement que toutes ces critiques sont largement justifiées.
Mais je ne suis ontologiquement pas objectif. Je ne peux pas l'être pour ce genre de film, de réalisateur (mais il n'y en a pas beaucoup comme Mallick avec ce talent de mise en image). Je ne me l'explique pas. Il y a bien des clients pour tout un tas de conneries façon Camping et on ne leur demande pas pourquoi. Moi (et je vis très bien avec), mon truc, c'est l'opéra-requiem à propos de la vie, de l'univers et du reste sur grand écran, avec des images des graminées vibrant avec le vent d'été dans un champ et du Bach en fond sonore.
Moi je l'avais fait, avant même de voir le film.
Je suis une midinette, une midinette qui aime ne rien comprendre à des films contemplatifs dont la BO est composé de somptueux morceaux de classique, et qui pleure en écoutant la Moldau, en voyant des séquences spatiales ou de retrouvailles familiale sur une plage situé dans un ailleurs, au son du superbe Agnus Dei du Requiem de Berlioz.
Alors, je l'avoue, une seconde fois, je ne suis pas sûr d'avoir bien compris le propos du film, mais j'ai retrouvé ce qui m'a transporté déjà dans La Ligne Rouge : les voix-offs, les plans, la lumière, le grain, les musiques, les paroles, les acteurs... Et ça m'a suffit. Et ce n'est peut-être pas le chef d'oeuvre attendu, c'est peut-être une croûte métaphysiquement fatigante dès que Mallick nous parle d'autre chose que de ce cocon familial. Certains diront même que le réalisateur se regarde largement filmer ou aurait mieux fait de filer une partie de son film à la Cinquième pour ses docus géo ou paléo. Et sûrement que toutes ces critiques sont largement justifiées.
Mais je ne suis ontologiquement pas objectif. Je ne peux pas l'être pour ce genre de film, de réalisateur (mais il n'y en a pas beaucoup comme Mallick avec ce talent de mise en image). Je ne me l'explique pas. Il y a bien des clients pour tout un tas de conneries façon Camping et on ne leur demande pas pourquoi. Moi (et je vis très bien avec), mon truc, c'est l'opéra-requiem à propos de la vie, de l'univers et du reste sur grand écran, avec des images des graminées vibrant avec le vent d'été dans un champ et du Bach en fond sonore.
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