Joyeux mélange jouissif et foutraque, Gregg Araki nous joue là Philip K. Dick versus Beverly Hills 90210, dans la parenthèse US acidulée et libérée des années de fac.
Porté par une tripotée d'acteurs aussi clichés que talentueux (mon dieu, les yeux de Thomas Dekker, et graou Roxanne Mesquida), ainsi que le cameo improbable de James Duval (le double 90's à l'écran d'Araki dans son triptyque de l'apocalypse adolescente : Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere), Kaboom est une petite bombe nihiliste et orgasmique, où Gregg Araki détourne les codes du soap et du film de fac pour en faire un film... d'Araki.
A voir, à revoir, sans modération, jusqu'à la fin du monde.
Porté par une tripotée d'acteurs aussi clichés que talentueux (mon dieu, les yeux de Thomas Dekker, et graou Roxanne Mesquida), ainsi que le cameo improbable de James Duval (le double 90's à l'écran d'Araki dans son triptyque de l'apocalypse adolescente : Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere), Kaboom est une petite bombe nihiliste et orgasmique, où Gregg Araki détourne les codes du soap et du film de fac pour en faire un film... d'Araki.
A voir, à revoir, sans modération, jusqu'à la fin du monde.
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