On prend les mêmes et on recommence...
Sans apporter de véritables changements de taille par rapport au premier volet des aventures de la famille Addams, Barry Sonnenfeld nous offre une comédie familiale gentiment incorrecte, avec son lot de petites vengeances envers quelques symboles du bon goût et de la bienséance made in USA.
Si le scénario diffère peu du premier dans ses grandes lignes (il y a toujours quelqu'un qui en veut à la fortune des Addams, l'amour entre Gomez et Morticia est toujours aussi joyeusement desaxé et les enfants déploient toujours des trésors de sadisme), on garde toujours un certain plaisir à voir un camp de vacances massacré (et la pique facile à Disney fait toujours du bien), un nourrisson à moustache, nourri au russe blanc, cible de la jalousie sadique des ses frangins et un furieux et libidineux tango, tout cela grâce tout d'abord à un casting impeccable et une interprétation au poil.
Je pense même que ce deuxième volet est supérieur au premier, Sonnenfeld exploitant à merveille la noirceur divertissante de chaque Addams, et en particulier en ce qui concerne la petite perle du film, Mercredi (Christina Ricci forever), entre ses amours naissantes et son mauvais esprit poseur.
Presque 20 ans et toujours jubilatoire, Les Valeurs de la Famille Addams passe les années en gardant cette amertume vivifiante, gentil majeur dressé salutaire sans être révolutionnaire.
Sans apporter de véritables changements de taille par rapport au premier volet des aventures de la famille Addams, Barry Sonnenfeld nous offre une comédie familiale gentiment incorrecte, avec son lot de petites vengeances envers quelques symboles du bon goût et de la bienséance made in USA.
Si le scénario diffère peu du premier dans ses grandes lignes (il y a toujours quelqu'un qui en veut à la fortune des Addams, l'amour entre Gomez et Morticia est toujours aussi joyeusement desaxé et les enfants déploient toujours des trésors de sadisme), on garde toujours un certain plaisir à voir un camp de vacances massacré (et la pique facile à Disney fait toujours du bien), un nourrisson à moustache, nourri au russe blanc, cible de la jalousie sadique des ses frangins et un furieux et libidineux tango, tout cela grâce tout d'abord à un casting impeccable et une interprétation au poil.
Je pense même que ce deuxième volet est supérieur au premier, Sonnenfeld exploitant à merveille la noirceur divertissante de chaque Addams, et en particulier en ce qui concerne la petite perle du film, Mercredi (Christina Ricci forever), entre ses amours naissantes et son mauvais esprit poseur.
Presque 20 ans et toujours jubilatoire, Les Valeurs de la Famille Addams passe les années en gardant cette amertume vivifiante, gentil majeur dressé salutaire sans être révolutionnaire.
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