Vu que je ne suis pas d'humeur à tourner autour du pot, faisons simple : Hellboy fait partie des toutes meilleurs adaptations d'un comics à l'écran. Respectueux du matériau de départ et fidèle à l'esprit, Del Toro (et Mignolia, qui est loin d'avoir été un simple consultant) nous gratifie en plus d'un scénario d'aplomb, équilibré avec des personnages bien écrits et une intrigue prenante.
Entre des méchants vraiment méchants (la palme à Kroenen), des grosses séquences d'actions (la poursuite entre Hellboy et Sammael), des SFX et des décors de qualité et des acteurs au poil (aucune star mais que du bon, de Perlman à Selma Blair, en passant par John Hurt et Karel Roden en Rasputin, glacial et dérangeant), il n'y a rien a jeter. Et on ne remerciera jamais assez James Cameron d'avoir conseillé à Del Toro le maquillage (superbe travail de Rick Baker) pour Hellboy, plutôt que les images de synthèse, tant Perlman s'est glissé dans ce rôle comme dans un gant et que ce fils des enfers nous paraît vrai. Car on s'y attache, et ce n'est pas le moindre tour de force qu'a réussi Del Toro pour ce grand blockbuster.
Entre des méchants vraiment méchants (la palme à Kroenen), des grosses séquences d'actions (la poursuite entre Hellboy et Sammael), des SFX et des décors de qualité et des acteurs au poil (aucune star mais que du bon, de Perlman à Selma Blair, en passant par John Hurt et Karel Roden en Rasputin, glacial et dérangeant), il n'y a rien a jeter. Et on ne remerciera jamais assez James Cameron d'avoir conseillé à Del Toro le maquillage (superbe travail de Rick Baker) pour Hellboy, plutôt que les images de synthèse, tant Perlman s'est glissé dans ce rôle comme dans un gant et que ce fils des enfers nous paraît vrai. Car on s'y attache, et ce n'est pas le moindre tour de force qu'a réussi Del Toro pour ce grand blockbuster.
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