Cette seconde saison de Burn Notice confirme tout le bien que je pensais d'elle lors de la première. Pourtant, rien ne change véritablement : Michael Western cherchant les raisons de son éviction, son coté chevalier blanc, la tension amoureuse entre lui et la belle Fiona et une mère jamais satisfaite mais toujours concernée.
Et une fois de plus, sur ce schéma classique, il y a une classe, un rythme, un ton, une qualité, un truc en plus qui fait que Burn Notice sorte à nouveau du lot pour cette seconde saison. De plus, le casting des acteurs jouant les seconds rôles récurrents ou les guest stars le temps d'un épisode est du haut de gamme : Tricia Helfer (l'icônique N°6 de Battlestar Galactica) qui joue une intrigante espionne, ayant les moyens de réintégrer Michael, Michael Shanks (Dr Jackson dans la série Stargate-SG1) à contre-emploi en espion psychopate, Silas Weir Mitchell (vu aussi dans Earl dans le rôle de Donny Jones) en marchand d'arme frappadingue ou encore la tronche de bad guy entre Tarantino et Michael Ironside de Mark Sheppard (l'avocat Romo Lampkin de Gaïus Baltar dans Battlestar Galactica, vu aussi dans l'épisode l'Incendiaire de la saison 1 d'X-Files, et plus récement dans Medium et la cinquième saison de 24).
Si cette série a définitivement quelque chose en plus et connait un certain succés aux USA, c'est peut-être aussi parce qu'elle propose une alternative plus légère mais pas débilitante dans le paysage actuelle des séries, où la froide réalité enveloppe beaucoup de séries policières (quelqu'un regarde encore CSI ?), avec des personnages toujours durs, implacables, plongés jusqu'au cou dans leur sacerdoce de métier. Matt Nix, le créateur de Burn Notice, a mis de la distance dans son show aux éléments scénaristiques pourtant peu édulcoré (prise d'otage, drogues, meurtres, mafia, trahisons diverses et cadavres un peu partout). On s'attache aux personnages, on s'amuse mais on se prend aussi au jeu, et les dernières minutes de l'épisode final nous rappellent aussi que le monde de Michael Western est impitoyable. Mais les personnages ne se garde pourtant jamais de sourire, et c'est finalement peut-être ça le truc en plus de Burn Notice.
Et une fois de plus, sur ce schéma classique, il y a une classe, un rythme, un ton, une qualité, un truc en plus qui fait que Burn Notice sorte à nouveau du lot pour cette seconde saison. De plus, le casting des acteurs jouant les seconds rôles récurrents ou les guest stars le temps d'un épisode est du haut de gamme : Tricia Helfer (l'icônique N°6 de Battlestar Galactica) qui joue une intrigante espionne, ayant les moyens de réintégrer Michael, Michael Shanks (Dr Jackson dans la série Stargate-SG1) à contre-emploi en espion psychopate, Silas Weir Mitchell (vu aussi dans Earl dans le rôle de Donny Jones) en marchand d'arme frappadingue ou encore la tronche de bad guy entre Tarantino et Michael Ironside de Mark Sheppard (l'avocat Romo Lampkin de Gaïus Baltar dans Battlestar Galactica, vu aussi dans l'épisode l'Incendiaire de la saison 1 d'X-Files, et plus récement dans Medium et la cinquième saison de 24).
Si cette série a définitivement quelque chose en plus et connait un certain succés aux USA, c'est peut-être aussi parce qu'elle propose une alternative plus légère mais pas débilitante dans le paysage actuelle des séries, où la froide réalité enveloppe beaucoup de séries policières (quelqu'un regarde encore CSI ?), avec des personnages toujours durs, implacables, plongés jusqu'au cou dans leur sacerdoce de métier. Matt Nix, le créateur de Burn Notice, a mis de la distance dans son show aux éléments scénaristiques pourtant peu édulcoré (prise d'otage, drogues, meurtres, mafia, trahisons diverses et cadavres un peu partout). On s'attache aux personnages, on s'amuse mais on se prend aussi au jeu, et les dernières minutes de l'épisode final nous rappellent aussi que le monde de Michael Western est impitoyable. Mais les personnages ne se garde pourtant jamais de sourire, et c'est finalement peut-être ça le truc en plus de Burn Notice.