Que j'essaie d'être original pour parler de cette troisième saison de Burn Notice apparaît comme un véritable défi par rapport à ce que j'ai déjà écrit sur cette série.
Tentons donc une comparaison culinaire qui, je le précise, n'a qu'un rapport extrêmement capillotracté avec cette série (si ce n'est les origines celtiques de Miss Fiona Glenanne). Burn Notice, c'est un peu la recette des crêpes au sarrasin : pas spécialement compliquée mais facilement ratée, un délice quand c'est réussi (si vous voulez me nommer aux awards 2010 de la métaphore, ce sera gentil, mais cela ne le mérite vraiment pas).
J'aime cette série. Elle arrive à être spectaculaire, attachante, prenante, sérieuse et fun sans vraiment rentrer dans une surenchère saison après saison. Les personnages ne font pas du sur place, les bad guys ont la classe et Jeffrey Donovan y est tout simplement énorme (en VO uniquement, la VF ayant eu le don magique de transformer cette série en grosse bouse).
Cette série ne sera peut-être jamais un chef d'oeuvre ou culte. Peu importe, elle a la classe, et ça, ce n'est pas donné à toutes les séries. Et puis, promis, j'essaie de me racler la soupière pour la quatrième...
Tentons donc une comparaison culinaire qui, je le précise, n'a qu'un rapport extrêmement capillotracté avec cette série (si ce n'est les origines celtiques de Miss Fiona Glenanne). Burn Notice, c'est un peu la recette des crêpes au sarrasin : pas spécialement compliquée mais facilement ratée, un délice quand c'est réussi (si vous voulez me nommer aux awards 2010 de la métaphore, ce sera gentil, mais cela ne le mérite vraiment pas).
J'aime cette série. Elle arrive à être spectaculaire, attachante, prenante, sérieuse et fun sans vraiment rentrer dans une surenchère saison après saison. Les personnages ne font pas du sur place, les bad guys ont la classe et Jeffrey Donovan y est tout simplement énorme (en VO uniquement, la VF ayant eu le don magique de transformer cette série en grosse bouse).
Cette série ne sera peut-être jamais un chef d'oeuvre ou culte. Peu importe, elle a la classe, et ça, ce n'est pas donné à toutes les séries. Et puis, promis, j'essaie de me racler la soupière pour la quatrième...
3 commentaires:
La métaphore, c'est à la prose ce que le bouillon cube est à la cuisson du poisson : un assaisonnement pas dégueu mais au fond inutile !
La métaphore est le début de la gangrène de la société occidentale. Lacan ne s'y était pas trompé.
D'ailleurs la littérature orientale en abuse. Et qui peut dire qu'il a lu s'en s'emmerder un Naghib Mahfouz ou un Murakami Ryu ? Qui ?
Cherchez pas : la métaphore, meilleure que le lexomil.
Bref ! Je suis de retour !
j'aime aussi beaucoup cette série bien fun. Je pense commencer la saison 5 prochainement, as tu vu la 4 ? perso j'ai qu'un gros regret avec cette série, c'est le fil rouge : au final je comprend rien à ces agences qui manipulent michael et font les gentils... j'ai l'impression que l'idée c'est qu'il n'y a pas gentils et méchants mais deux grosses organisations secrètes aux affaires douteuses qui se tirent dessus et michael au milieu. Ton avis sur la question ? si tu peux me retracer ce fil rouge je t'en serait infiniment reconnaissant !
Je n'ai actuellement pas poursuivi au delà de la troisième saison, je ne peux donc en dire beaucoup plus. Et si je me souviens de ce que j'ai vu jusque là, ton explication pourrait plutôt tenir debout.
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