Emiliana Torrini - Me and Armini : en voilà donc un bien bel album, léger et faussement naïf, un album idéal pour être de bonne humeur, ou juste ne pas se sentir maussade. La voix de cette demoiselle est pleine de surprises, de force et de finesse et la musique simple et soignée. Aucune faute de goût ni de temps mort à signaler, en bref une galette qui a toute les qualités pour être écoutée régulièrement et sur la durée.
PJ Harvey - White Chalk : après à mon goût la demie décéption de Uh Uh Her, c'est tout le contraire qui se passe pour cet album. On y retrouve les sonorités et les structures musicales qu'affectionne la miss, mais dans un esprit plus éthéré, avec l'omniprésence du piano (que je soupçonne être droit à sa sonorité), l'absence de guitare électrique et une voix plus que jamais à part. D'ailleurs, elle va franchement dans les aigüs, avec parfois l'impression d'une voix plus juvénile que jamais, étonnant pour un album qui est loin de l'être. Un grand album de la belle PJ, pour moi le meilleur qu'elle ait réalisé depuis mon chouchou Is This Desire?.
The Doors - The Soft Parade : tellement décrié par certains (dont l'inénarrable P. Manoeuvre, qui, il est clair, n'est pas un pro-Doors, et ose dire que c'est un disque d'easy-listening, pour quelqu'un qui vend les BB Brunes pour le renouveau du rock français...) alors qu'il ne mérite pas tant de haine. Pour sûr, la production de Paul Rotschild (producteur de toutes les galettes des Portes, à l'exception de l'ultime L.A. Woman) a tendance à noyer la paire mélodique Manzarek-Krieger sous une couche épaisse de cuivres et cordes, mais les bonnes chansons sont là, et l'édition du 40ème anniversaire des Doors redore le blason de cette galette mal-aimée, certes un peu à part dans l'histoire du groupe mais loin, très loin d'être la soit-disante purge habituellement présentée.
PJ Harvey - White Chalk : après à mon goût la demie décéption de Uh Uh Her, c'est tout le contraire qui se passe pour cet album. On y retrouve les sonorités et les structures musicales qu'affectionne la miss, mais dans un esprit plus éthéré, avec l'omniprésence du piano (que je soupçonne être droit à sa sonorité), l'absence de guitare électrique et une voix plus que jamais à part. D'ailleurs, elle va franchement dans les aigüs, avec parfois l'impression d'une voix plus juvénile que jamais, étonnant pour un album qui est loin de l'être. Un grand album de la belle PJ, pour moi le meilleur qu'elle ait réalisé depuis mon chouchou Is This Desire?.
The Doors - The Soft Parade : tellement décrié par certains (dont l'inénarrable P. Manoeuvre, qui, il est clair, n'est pas un pro-Doors, et ose dire que c'est un disque d'easy-listening, pour quelqu'un qui vend les BB Brunes pour le renouveau du rock français...) alors qu'il ne mérite pas tant de haine. Pour sûr, la production de Paul Rotschild (producteur de toutes les galettes des Portes, à l'exception de l'ultime L.A. Woman) a tendance à noyer la paire mélodique Manzarek-Krieger sous une couche épaisse de cuivres et cordes, mais les bonnes chansons sont là, et l'édition du 40ème anniversaire des Doors redore le blason de cette galette mal-aimée, certes un peu à part dans l'histoire du groupe mais loin, très loin d'être la soit-disante purge habituellement présentée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire